mercredi 23 juillet 2008

De l'union productive de la satisfaction et de la panique

Le travail prend forme. Sérieusement.



Bon, je n'ai pas encore les maquettes finales.



Mais j'ai des pages uniformes, illustrées.



Je relis à tête reposée.



Ces pages que j'ai déjà lues, corrigées, réécrites, coupées, ajoutées, mises en forme, copiées-collées au moins 150 fois. Minimum.



Et je trouve ça bon. La plupart du temps (bon, je suis encore et toujours perfectionniste, qu'est-ce que vous voulez, c'est la faute de ma mère!)



Dès qu'elles sont prêtes, je montre ces pages aux rédacteurs et leurs yeux s'illuminent. Ces journées-là, j'ai de leur part une productivité maximale.



Attendez que je leur montre les maquettes finales...



Oufffffffffffff...



Satisfaction d'un tiers du travail accompli.



Ahhhhhhhhhhhhh!



Cri de panique d'un tiers SEULEMENT du travail accompli.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Courage, courage ! T'es la meilleure ;)